L'ENFANT DU GHETTO
Jeudi 26 novembre 2009
à 17h00 - Salle René Cassin
Lecture d'image par Jacques LEFEBVRE
Pour le second rendez-vous des Jeudis culturels de Masséna, nous vous proposons une lecture d'image, par Jacques Lefebvre, ancien professeur d'Anglais de notre lycée et conférencier à la Cinémathèque de Nice.
"Il y a bien longtemps que j’ausculte cette image, bien longtemps que je la traque, bien longtemps qu’elle me hante. Pourquoi cette image s’est-elle inscrite à ce point dans ma mémoire, dans notre mémoire ? Quelle est l’histoire de cette image désormais emblématique ? Regards égarés, mains levées, soldats impassibles et, au premier plan, l’enfant du ghetto aux mains également levées. Un photographe a choisi de se poster là, au bon endroit. Un photographe a choisi de ne faire rien d’autre que de photographier, un photographe a choisi de « bien » cadrer l’horreur. Ce photographe inconnu est à la fois absent et formidablement présent. Le regard ne s’use pas au contact de ce cliché souvent utilisé pour représenter la Shoah - pourquoi cette image et pas une autre ? Je vous propose d’analyser cette image, je vous propose de vous raconter l’histoire de cette image…" Jacques Lefebvre
Jeudi 26 novembre 2009
à 17h00 - Salle René Cassin
Lecture d'image par Jacques LEFEBVRE
Pour le second rendez-vous des Jeudis culturels de Masséna, nous vous proposons une lecture d'image, par Jacques Lefebvre, ancien professeur d'Anglais de notre lycée et conférencier à la Cinémathèque de Nice.
"Il y a bien longtemps que j’ausculte cette image, bien longtemps que je la traque, bien longtemps qu’elle me hante. Pourquoi cette image s’est-elle inscrite à ce point dans ma mémoire, dans notre mémoire ? Quelle est l’histoire de cette image désormais emblématique ? Regards égarés, mains levées, soldats impassibles et, au premier plan, l’enfant du ghetto aux mains également levées. Un photographe a choisi de se poster là, au bon endroit. Un photographe a choisi de ne faire rien d’autre que de photographier, un photographe a choisi de « bien » cadrer l’horreur. Ce photographe inconnu est à la fois absent et formidablement présent. Le regard ne s’use pas au contact de ce cliché souvent utilisé pour représenter la Shoah - pourquoi cette image et pas une autre ? Je vous propose d’analyser cette image, je vous propose de vous raconter l’histoire de cette image…" Jacques Lefebvre
