jeudi 25 mars 2010

Séances scolaires du Festival du Court Métrage de Nice

Pour poursuivre le travail entamé l'an dernier avec les grands acteurs locaux de la diffusion cinématographique azuréenne, le Lycée Masséna participe cette année encore aux séances scolaires proposer par l'association Héliotrope dans le cadre du Festival du Court Métrage de Nice, Un festival c'est trop court.

Un festival c’est trop court ! fête ses 10 ans.


L'association Héliotrope propose de nombreuses séances scolaires encadrées. Les films des programmes proposés ont été soigneusement choisis pour leur valeur pédagogique et certaines séances sont suivies de débats, conçues comme lieu d’expressions et de découvertes. Les élèves ont alors l’occasion d’extérioriser leur sensibilité, échanger et aiguiser leur sens critique. L’objectif est d’offrir aux élèves et à leurs enseignants des éléments pour mieux comprendre les processus de fabrication d’un film. Et pour plus d'informations, contacter : Amélie Masciotta : ameliemasciotta@gmail.com ou Timothée Raymond : scolaire.heliotrope@gmail.com



mardi 23 mars 2010

Inauguration de la fresque d'Alain de Fombelle

Le jeudi 25 février 2010 a eu lieu au Centre de Documentation et d'Information l'inauguration de la fresque Le lieu d'un autre savoir réalisée et offerte par l'artiste-peintre Alain de Fombelle. 

A cette occasion, les élèves ont pu assiter à une conférence d'Alain Biancheri sur L'Ecole de Nice et à plusieurs Performances, Quelques textes par Alain de Fombelle, Coulées musicales par Alain de Fombelle accompagnés d'élèves du lycée, A propose de la fresque par Jean Mas.

Cette événement était accompagné de l'inauguration de l'exposition Un peintre et ses amis composée d'oeuvres de nombreux artistes, Sasha Sosno, Sylvie T, Dominique Zoladz, Miodrag Tasik, Claude Gilli, Slobodan, Vivien Isnard, Claude Anton, Ester Morisse, Phobé, Alain de Fombelle, Michel Jarry, Florence Panzani, Frédéric Altmann, Bruno Mendoça, alexis Mori, Kristof Everart, Christian Dury, Jean Mas, Matéo Bosoni, Gérard Demonchy, Alejandra Sanchez, Laurent Bosio, Andrée Binello, Nisère, Jean-Marie Fondacaro et Jean Da Milano.


La conférence L'Ecole de Nice
et les Performances


  
La fresque Le Lieu d'un autre savoir
et L'exposition Un peintre et ses amis  





Inauguration de la fresque Le lieu d'un autre savoir
et le vernissage de l'exposition Un peintre et ses amis


Monsieur Le Proviseur accompagné de l'artiste Alain de Fombelle
et de Mme Marland-Militello, Adjointe à la Culture à la Mairie de Nice




  
   

Rencontre avec l’écrivaine Maryline Desbiolles

Vendredi 19 mars 2010 a eu lieu au Lycée Masséna de Nice une rencontre entre l’écrivaine Maryline Desbiolles et les élèves italianistes de la classe de seconde européenne.

Cette invitation s’inscrit dans la programmation pédagogique et interdisciplinaire concernant les élèves italianistes du Lycée qui participent à l’appariement entre le Lycée Masséna de Nice et le Lycée Martin Luther King de Gênes en Italie.

Au cours de l’année les élèves travaillent sur les deux villes : habiter, se déplacer, vivre, travailler et mènent une réflexion sur les deux cultures, la citoyenneté, le vivre ensemble et l’acceptation de la différence. Ils ont réalisé des traductions en langue italienne du roman de Maryline Desbiolles, Aïzan, dont l’histoire se passe à Nice et ont présenté une lecture des textes en langue italienne en présence de l’auteur. Un travail a été fait conjointement avec leur professeur de français sur le texte.

Lors du récent séjour des niçois à Gênes, les élèves ont bénéficié d’une présentation et de lectures d’auteurs ayant écrit des textes sur la ville par un poète, spécialiste de littérature italienne, Renato Dellepiane, proviseur du Lycée qui les reçoit.

Ce travail sur les deux villes, sur leur patrimoine commun, mais aussi sur leurs différences fera l’objet de “Storie e racconti cittadini”, récits réels ou imaginaires, en italien et dans leur langue maternelle.

Merci à Mme Longo pour cette présentation
Professeur responsable de l’appariement et du projet pédagogique européen des italianistes, classes de seconde du Lycée Masséna.

A propos de Maryline Desbiolles

Originaire de Savoie, Maryline Desbiolles vit loin de la scène littéraire parisienne, dans l'arrière pays niçois. Dès l’enfance, elle écrit des poèmes, des nouvelles, et crée, après ses études à Nice et à Cannes, deux revues de poésie et de littérature, Offset en 1980 et La Métis en 1990, qui réunissent des auteurs méditerranéens. En 1998, la publication de La Seiche la révèle au public : ce roman singulier construit une réflexion digressive sur la vie humaine à partir d’une recette de cuisine. Son écriture à la fois tendue et lyrique est récompensée par le prix Femina pour Anchise, en 1999, qui évoque un deuil impossible. Le Goinfre, en 2004, récit d’un périple désespéré en Italie, témoigne lui aussi de l’intensité et de la maîtrise de son écriture. Maryline Desbiolles poursuit une carrière littéraire exigeante. Parus au Seuil en 2008 et 2009, 'Les Draps du peintre' et 'La Scène', ses derniers romans confirment en même temps que son attachement aux beaux arts, l'originalité de son style.

Bibliographie
Une femme de rien, éd. Mazarine, 1987
Les Bateaux-feux, éd. Alinéa, 1988
Les Chambres, éd. Blandin, 1992
Le Premier Été, éd. Gardette/Le Noroît, 1994
Quelques écarts, éd. Tarabuste, 1997
La Seiche, éd. Seuil, 1998
Anchise, éd. Seuil, 1999, Prix Femina
Le Petit Col des loups, éd. Seuil, 2001
Amanscale, éd. Seuil, 2002
Nous rêvons notre vie, Bernard Pagès, éd. Cercle d'art, 2003
Cheval ailé avec mors, La Beauté en voyage, éd. Cercle d'art, 2003
Le Goinfre, éd. Seuil, 2004
Vous, d. Melville, 2004
Manger avec Piero, éd. Mercure de France, 2004
Primo, éd. Seuil, 2005
Aïzan, éd. Médium, 2006
C'est pourtant pas la guerre, éd. Seuil, 2007
Les Draps du peintre, éd. Seuil, 2008
La Scène, éd. Seuil, 2009

jeudi 18 mars 2010

Une visite au Muséum d’histoire naturelle de Nice

Compte-rendu réalisé par Thomas Kleim, Camille Neuville, Laetitia Poot et Maxime Zerbib, élève de Première S (634)

Au début de la visite, notre professeur de S.V.T, Monsieur Gandioli, nous rappelle que le thème du jour est la Biodiversité.Le conservateur du musée a accueilli la classe en expliquant plusieurs choses :

1. Lors de cette visite, pour une fois, il nous ferait visiter la collection qui n’est pas exposée au publique car en général, un muséum d’histoire naturelle n’expose qu’1% de sa collection, ce qui est déjà un pourcentage important car le muséum d’histoire naturelle de Nice détient une collection constituée d’1 million 300 mille objets (l’inventaire n’est pas à jour.).

2. Un muséum d’histoire naturelle est approvisionné par quatre sources : Les dons, faits par le collectionneur lui-même ou par sa famille, lors de son décès. Les laboratoires de recherche des universités. Aussi, les saisies des douanes telles que les défenses en ivoire…Et enfin, l’achat qui est plutôt rare.


Le conservateur nous confie en effet qu’il a pour politique de ne rien refuser et de ne rien jeter. Notre visite a commencé par la collection de champignons, qui sont moulés et aquarellés à l’échelle 1, c’est-à-dire, leur taille réelle. C’est Barla qui a constitué cette collection, après la cueillette des champignons dans le pays Niçois, il les moulait, puis, après avoir découpé le moule en plâtre, (avec son équipe de plâtriers) il s’en servait pour mouler les champignons, en utilisant différentes matières, comme par exemple le papier mâché. Nous avons pu remarquer qu’il y a quelques années, les champignons étaient beaucoup plus gros, ils ont rétréci depuis l’époque de Barla et que les grandes zones urbanisées de nos jours (comme l’aéroport), étaient de grandes forêts.


Nous avons ensuite vu les herbiers : Un herbier est une collection de plantes séchées et pressées entre des feuilles de papier qui sert de support physique à différentes études sur les plantes, et principalement à la taxinomie . Le conservateur insiste sur le fait qu’un herbier correctement constitué doit comporter trois informations importantes : le nom de la plante, le lieu et la date de la cueillette. Pour qu’un herbier soit bien conservé, il faut éliminer tout risque de parasite, d’insecte, ou autre, qui viendrait abimer l’herbier. Ainsi, il existe deux manières de conserver un herbier : l’empoisonnement par bichlorure mercurique ou arsénique, ou bien la congélation. Etant donné que les réglementations aux seins des musées ont évolué, les moyens de conserver ont également évolué.

La visite s’est poursuivie par notre entrée dans la bibliothèque, dans laquelle se trouvent 80000 ouvrages et plus d’une centaine de milliers de périodiques.

Ensuite, nous avons visité la salle où se trouvaient tous les oiseaux. Ils datent pour la majorité du dix-neuvième siècle et sont empaillés en coton et armature en fil de fer. Leur peau est tannée à l’arsenic. Le principal problème du muséum est la poussière, même si les oiseaux sont restaurables. Nous avons continué par la très large collection d’insecte, où nous avons pu voir des papillons, scarabées ou autre. Enfin, la dernière salle était celle des animaux empaillés et des êtres vivants conservés dans du formol (fœtus, léopards etc…).

Cette passionnante visite du musée nous a donc permis d’explorer concrètement la biodiversité.

lundi 8 mars 2010

Jane Eyre au théâtre Francis Gag

Comme chaque année, sous l'impulsion de notre collègue Mme Bellia, professeure d'anglais, une dizaine de classes de tous niveaux du lycée a eu la chance de pouvoir assister à une pièce jouée en langue anglaise. Il s'agissait cette année de Jane Eyre, d'après le roman de Charlotte Brontë.